Trojan et Shogun dépassent toutes les espérances en Nouvelle-Zélande

Les deux nouvelles espèces de ray-grass d’Agriseeds ont rencontré un succès phénoménal en Nouvelle-Zélande : la qualité haut de gamme de ces produits et une préparation soigneuse du marché se sont traduits par la vente de la totalité de la production au cours des deux dernières saisons.

Dans un marché où la vente de 100 tonnes de semences la première année est considérée comme un succès, le ray-grass anglais Trojan s’est vendu à 500 tonnes lors de son lancement auprès des agriculteurs néo-zélandais en 2011/12. Le ray-grass hybride Shogun n’a pas été en reste : les ventes de la première année en 2012/13 se sont envolées à 650 tonnes.

 

Le PDG d’Agriseeds, Murray Willocks, déclare que ce résultat est d’autant plus réjouissant que les deux variétés occupent les premiers rangs dans le marché hautement concurrentiel des semences fourragères prairiales en Nouvelle-Zélande.

 

Il attribue le succès de Trojan et Shogun à la volonté de toujours de l’entreprise de développer les meilleures prairies qu’un agriculteur puisse cultiver.

 

« Tout commence avec la sélection de bons produits qui apportent aux agriculteurs ce dont ils ont besoin pour maximiser les performances de leurs prairies. Les produits sélectionnés suivent ensuite un programme approfondi de tests qui ne nous laissent aucun doute sur leur capacité à faire merveille dans les sols néo-zélandais. » 

 

« L’étape suivante consiste à préparer le marché avant de procéder au véritable lancement commercial », ajoute-t-il. « Nous présentons toujours les nouvelles variétés comme Trojan et Shogun à nos clients un an ou deux avant leur mise en vente à destination des agriculteurs.

 

Cette démarche amène nos clients à prendre confiance dans les produits, éveillant ainsi leur intérêt et leur attention. Lorsque l’heure est venue de vendre les semences aux agriculteurs, ils partent confiants et bien informés sur les nouvelles variétés pour transmettre cette confiance et ces connaissances à l’utilisateur final. »